"Je ré-pè-te : un girafon dans le carafon… Alpha Tango Charlie, me recevez-vous ??" Ah pardon, on me signale que l'article a commencé. Ahem, oui bien sûr. Excusez-moi une minute, le temps de reprendre mes esprits… Voilà. Je suis tout à vous.
Étiquette : joie
Fini les vacances !
Pour la première fois depuis loooongtemps, depuis toute ma vie en fait, cette rentrée a un parfum un peu amer. Je sais bien que j’avais décidé de prendre les choses du bon côté, mais j’avoue que de voir toutes ces photos, tous ces statuts de “ça y est, les Loulous vont à l’école”, “ouh là là, Poupougnette a commencé son adaptation à la crèche”, ça me fait un peu mal au cœur. (suite…)
I’m back !!!
Eeeeeh oui !! On ne se débarrasse pas de moi aussi facilement ! Enfin, en fait si, il aura juste fallu d'une absence quasi totale de moyens de communication (portable qui ne passe pas, pas d'internet) pour me couper du monde (pardon les copines…) et de mon blog d'amour.
Au fond de moi
Des fois, je râle. Bon OK, tout le temps en fait. Mais en vrai, je suis heureuse à l'intérieur, même si ça se voit pas toujours.
Aujourd'hui, on s'est baladés en famille, j'avais Hibou dans le porte-bébé et, au moment du goûter, je commence à pester : en plus d'être saucissonnés ensemble, de se tenir chaud mutuellement, j'allais en plus me retrouver recouverte d'enduit au boudoir. Charmant.
Les 10 choses trop pourries quand on est enceinte (et qui ne me manquent PAS DU TOUT)
Je t'avais prévenu(e), je t'avais bien dit dans cet article que je péparais un petit post sur les trucs nazes de la grossesse. Soyons clairs, je ne reviendrais en arrière pour rien au monde. Notre vie est avec Hibou et on ne la conçoit pas autrement avec Papounet.
MAIS on ne va pas se mentir, être enceinte n'est PAS un état de grâce. Si tu as lu cet article, tu sais d'ailleurs que je n'ai pas forcément respiré la joie et le bonheur durant ces 9 mois d'attente. Bon, je vais pas revenir sur la dépression, je suis plutôt d'humeur "pouet-pouet" aujourd'hui (bonjour les vacances !), donc je vous propose juste un petit tour d'horizon des choses plutôt banales mais quand même ultra-chiantes de quand ton bébé pousse à l'intérieur de toi.
Le jour où j’ai décidé de voir le bon côté des choses
Comme tu le sais, Hibou n'a pas eu de place en crèche. Comme tu le sais aussi, j'ai très légèrement pété un câble à l'annonce de ce refus (si tu n'as pas suivi l'histoire, je te conseille d'aller faire un tour ici), notamment parce que sur le moment, j'ai eu l'impression qu'on m'assassinait socialement et professionnellement.
Bah oui, je suis au chômage depuis plus d'un an et le jour où je trouve un boulot, pas de garde pour Hibou ! Et puis, hier matin, comme tous les matins, je suis allée chercher mon fils dans sa chambre. En le voyant tout heureux, là, dans son petit lit, en train de zouker (cherche pas, quand je vais le chercher après la sieste ou le matin, il est à quatre pattes et se déhanche comme pas deux), je me suis rendue compte d'un seul coup de la chance que j'avais.
Le jour où j’ai accouché #4
Hahaha ! Tu croyais que c'était fini lors du dernier épisode, hein ? Et bien sache que l'accouchement ne se termine PAS avec la venue au monde de ton bébé. Non, non, vient ensuite ce qu'on appelle la délivrance. Un ensemble de trucs pas hyper glam, pas hyper sympas dans mon cas (j'ai eu le droit à une petite révision utérine) mais qui passent comme une lettre à la poste dans la mesure où tu viens de vivre le moment le plus extraordinaire de ta vie.
Le jour où j’ai accouché #3
Si t'as bien suivi, tu sais que je viens d'arriver en salle de travail, à peu près 6h après avoir perdu les eaux, et 4h après être arrivée à la maternité. (Si t'es en retard, passe donc ici et là)
On m'installe, je suis dilatée à 4, j'ai mal. On me dit que l'anesthésiste va bientôt venir. Mamma mia ! J'ai peur… La péridurale, je n'en voulais pas. Mais j'ai une malformation du dos, et si jamais il y a des complications et que ça se termine par une césarienne en urgence, ce sera sous anesthésie générale si je ne prends pas la péri. Je veux voir mon bébé naître, moi. Alors à contrecoeur, au nom du sacro-saint principe de précaution, j'accepte qu'on m'enfonce une paille dans la colonne vertébrale (si j'avais su !). Rien que d'en parler, j'ai la nausée et le palpitant qui s'emballe.